Le New York Times n'est d'ailleurs pas la seule victime dans l'histoire, puisqu'il en fut de même pour Twitter ou encore le Huffington Post. Twitter a cependant tenu à rassurer ses utilisateurs en affirmant qu'aucune donnée personnelle n'avait été compromise en dépit des problèmes de disponibilité du service pendant une heure et demi. Quant au Huffington Post, seule l'adresse britannique de la plateforme de blogs a été touchée.
Une attaque en provenance d'un groupe proche du régime de Bachar al-Assad est privilégiée. Car sur son compte Twitter, le groupe « Syrian Electronic Army » a revendiqué l'opération dans une série de tweets agrémentés de diverses captures d'écran.
Si plusieurs sites ont été touchés, c'est que l'attaque aurait été perpétrée contre MelbourneIT, un fournisseur de services Internet australien, chargé de vendre et de gérer des noms de domaines, notamment ceux du New York Times et de Twitter. Son dirigeant a d'ailleurs évoqué auprès de Reuters une attaque sophistiquée. Ce qui laisse supposer une attaque de type DNS. En s'attaquant au registrar, SEA s'est retrouvé en mesure de rediriger les internautes vers le site de leur choix.
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