Grooveshark est régulièrement poursuivi en justice du fait qu'il ne respecte que ponctuellement les accords passés avec des majors. Mais surtout, il est décrié par les ayant droits du fait de ses fonctionnalités de type partage, qui permettent aux utilisateurs d'uploader des morceaux, potentiellement piratés, et de les mettre à disposition de tous les autres internautes.
Les majors doivent alors se fonder sur le DMCA (Digital Millenium Copyright Act) pour réclamer la suppression du contenu. Universal avait réussi en avril dernier à contourner juridiquement ces dispositions, en fondant sa requêtes sur des contenus enregistrés avant 1972, année d'entrée en vigueur du Copyright Act.
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