Si aucune base de données compromettante n'a été touchée, Opera Software précise que le hacker a eu accès à un certificat de sécurité expiré. Ce dernier a permis d'apposer une signature sur des logiciels malveillants, lesquels ont donc pu être publiés sous le nom d'Opera Software.
« Il est possible que quelques milliers d'internautes sur Windows ayant utilisé Opera entre 3h et 3h36 du matin le 19 juin aient automatiquement reçu puis installé le logiciel malveillant », affirme M.Vik. Il ajoute qu'Opera distribuera une nouvelle version de son navigateur doté d'un nouveau certificat.
La société encourage les utilisateurs à adopter les toutes dernières versions de son navigateur. Retrouvez davantage d'informations sur le malware en question depuis cette page.
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